Le Streaming en 2016

D’après la dernière étude mondiale menée par Nielsen, 65% des consommateurs dans le monde regardent des vidéos à la demande contre 39% en France. Le « Streaming » vient plus en complément qu’en substitution des services traditionnels de télévision. Les résultats de cette étude sont à découvrir ci dessous. 

LE STREAMING DANS LE MONDE

65% des consommateurs dans le monde déclarent regarder des vidéos à la demande (formats longs ou courts)

• 72% des interrogés dans le monde sont équipés d’une connexion TV traditionnelle (payante, par cable,satellite ou ADSL)
• 26% d’entre eux paient un abonnement à un site web de vidéo en ligne : Hulu, Netflix ou Amazon.

L’Amérique du Nord (35%), l’Asie – Pacifique (32%) arrivent en tête pour l’utilisation des sites streamings. L’Europe quand à elle est nettement en dessous de la moyenne mondiale (11%)

 

LE STREAMING EN France

En France, la VOD reste peu courante dans les habitudes de consommation audiovisuelle

 

En termes de moyens d’accès à la VOD, les Français sont encore peu nombreux à utiliser les services payants de streaming en ligne.

Bien que moins habitués des services de VOD, les consommateurs français sont cependant relativement ouverts à la publicité sur ce support, dans la mesure où elle leur permet un accès gratuit au contenu.

 

A propos de l’enquête mondiale Nielsen sur la vidéo à la demande
Les conclusions de cette enquête sont basées sur les réponses des consommateurs ayant un accès en ligne dans 61 pays. La méthode d’enquête en ligne permet une large échelle et une portée mondiale, elle offre une perspective unique sur les habitudes des utilisateurs d’Internet existants (et non pas la population totale). C’est ainsi une méthodologie particulièrement pertinente pour le sujet de la vidéo à la demande. Dans certains pays où la pénétration d’internet est encore en développement, les interrogés peuvent être plus jeunes et plus riches que la population globale de ce pays. Les conclusions cette enquête sont basées sur des comportements déclarés par les interrogés, non mesurés réellement. Des différences culturelles sont donc susceptibles d’intervenir dans les réponses à travers les pays et les régions du globe.

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